#smrgSAHAF Parce qu'ils sont Arméniens - 2015
Une page noire de l?
Histoire turque, toujours controversée, toujours taboue. Quel regard peut porter sur cette communauté et sur cet épisode une Turque née dans les années 70 ?
Pinar Selek répond avec ce récit personnel et engagé, tissé de ses souvenirs, observations et rencontres. Avec elle, nous apprenons de l'intérieur ce que signifie se construire en récitant à l'école des slogans proclamant la supériorité nationale, en étudiant sur des manuels mensongers, en côtoyant des camarades craintifs et silencieux, en sillonnant une ville où les noms arméniens ont été effacés des enseignes, en militant dans des mouvements d'extrême gauche ayant intégré le déni. Un témoignage sensible et polémique de la part d'une femme engagée dont la personnalité et les écrits continuent d'être marqués par la question arménienne.
"Le génocide arménien a un siècle. Une page noire de l'histoire turque, toujours controversée, toujours taboue; un drame qui hante les esprits et les cœurs de génération en génération. Pinar Selek interroge son rapport à cet épisode et à la communauté victime. Au fil des souvenirs et des rencontres, elle raconte ce que signifie se construire en récitant des slogans qui proclament la supériorité nationale, en côtoyant des camarades craintifs et silencieux, en sillonnant Istanbul où les noms arméniens ont été effacés des enseignes, en militant dans des mouvements d'extrême gauche ayant intégré le déni. Au-delà de la question arménienne, ce témoignage sensible, engagé, parfois autocritique, dénonce les impasses de la violence et sonde les mutations de l'engagement collectif."
Une page noire de l?
Histoire turque, toujours controversée, toujours taboue. Quel regard peut porter sur cette communauté et sur cet épisode une Turque née dans les années 70 ?
Pinar Selek répond avec ce récit personnel et engagé, tissé de ses souvenirs, observations et rencontres. Avec elle, nous apprenons de l'intérieur ce que signifie se construire en récitant à l'école des slogans proclamant la supériorité nationale, en étudiant sur des manuels mensongers, en côtoyant des camarades craintifs et silencieux, en sillonnant une ville où les noms arméniens ont été effacés des enseignes, en militant dans des mouvements d'extrême gauche ayant intégré le déni. Un témoignage sensible et polémique de la part d'une femme engagée dont la personnalité et les écrits continuent d'être marqués par la question arménienne.
"Le génocide arménien a un siècle. Une page noire de l'histoire turque, toujours controversée, toujours taboue; un drame qui hante les esprits et les cœurs de génération en génération. Pinar Selek interroge son rapport à cet épisode et à la communauté victime. Au fil des souvenirs et des rencontres, elle raconte ce que signifie se construire en récitant des slogans qui proclament la supériorité nationale, en côtoyant des camarades craintifs et silencieux, en sillonnant Istanbul où les noms arméniens ont été effacés des enseignes, en militant dans des mouvements d'extrême gauche ayant intégré le déni. Au-delà de la question arménienne, ce témoignage sensible, engagé, parfois autocritique, dénonce les impasses de la violence et sonde les mutations de l'engagement collectif."